DERNIÈRE GÉNÉRATION
LE CANADA BRÛLE TOUJOURS.
L’été approche à grands pas.
Il faut un soulèvement international.
agissez avec nous.
résistez pour survivre.
"Je crois que, ce que nous faisons dans les prochaines 3-4 années déterminera l'avenir de l'humanité"
Sir David King,
Ancien conseiller scientifique en chef du gouvernement britannique, février 2021
Le Plan
3 semaines de perturbations soutenues
La résistance civile est notre dernière chance de survie
l'itération est clé. nous allons gagner.
À partir du 20 mai, nous allons perturber le statu quo jour après jour dans plusieurs métropoles canadiennes. Les barrages routiers, les manifestations, et les obstacles au fonctionnement habituel sont la seule voie qui nous reste pour faire entendre nos voix auprès des grands médias et du gouvernement. Nous n'avons pas de temps à perdre.
Du mouvement des Droits Civiques au mouvement pour l’indépendance de l’Inde, l’histoire nous montre qu’une résistance civile non-violente et soutenue est l’outil le plus efficace pour que nos revendications soient satisfaites dans le peu de temps qui nous reste. Nous sommes préparés et nous sommes non-violents.
Tout comme les Suffragettes et les Freedom Riders des années 1960s, nous devons persister et continuer à engager dans des perturbations durables, jour après jour. Nous sommes la dernière génération. Nous ne pouvons pas nous permettre de perdre.
C'est le moment. La crise climatique attend personne.
NOUS SOMMES PARTOUT
Nous faisons partie du réseau A22, qui regroupe douze organisations dans douze pays, prêtes à se battre pour un monde vivable. Là où nos gouvernements se chamaillent et se renvoient la responsabilité de la crise climatique, nous nous unissons à travers les nations pour faire ce qui doit être fait. Les frontières ne nous arrêteront pas.
NOS REVENDICATIONS
une agence fédérale de lutte contre les incendies qui forme et emploie 50 000 pompier.è.s
Que Le Canada met en œuvre des assemblées citoyennes juridiquement contraignantes pour lutter contre la crise climatique en moins de 2 ans
1.
3.
Au Canada, une superficie la grandeur de la Grèce a brûlé cet été et 2 milliards de tonnes de dioxyde de carbone ont été émises à la suite d'incendies de forêt dévastateurs. Cependant, plus de 70% des forces canadiennes de lutte contre les incendies de forêt sont bénévoles. Nous sommes à 1,3 degrés de réchauffement, et nous devons exiger que le Canada protège ceux qui luttent en première ligne contre la crise climatique et protègent nos derniers précieux puits de carbone.
Nous ne pouvons plus faire confiance à notre gouvernement criminel pour prendre les mesures nécessaires pour nous sauver, vu qu'ils ont laissé passer des décennies sans agir sur cette crise. Nous devons remettre le pouvoir entre les mains des gens ordinaires pour parvenir au changement nécessaire afin de nous assurer un avenir vivable.
2.
QUE LE CANADA SOUTIENT LE TRAITÉ SUR LES COMBUSTIBLES FOSSILES
Nous savons qui a allumé les feux. Conférence après conférence, nos hommes politiques ont échoué au niveau international à mettre fin aux combustibles fossiles. L'Accord de Paris est mort ; nous avons besoin d'un véritable traité pour mettre fin à l'ère des combustibles fossiles et assurer une transition juste pour les travailleurs.
La saison des feux de forêt au Canada en 2023
2 milliards de tonnes de CO2 rejetées
6,551 Feux
5% des forêts Canadiennes parti en fumée
240 000 Personnes Évacuées
18.5 Million d’hectares brûlés
Au moins 8 morts.
Pourtant, plus de 70% des pompier.è.s sont bénévoles. Les forces ont perdu 30 000 pompier.è.s depuis 2016.
C’est presque 4 fois les émissions annuelles du Canada et l’équivalent des émissions de 100 pays.
Cette saison était 6 fois pire que la norme.
La forêt boréale canadienne à été durement touchée ainsi que sa capacité d’absorber le carbone.
Le changement climatique est la raison pour laquelle les saisons sont de plus en plus chaudes et sèches. La fumée des feux de forêt produit plus d'éclairs créant une boucle de rétroaction.
Les habitants des communautés du Nord, en particulier les communautés autochtones, sont les premiers à être confrontés aux effets dévastateurs de la crise climatique. Plus de 42 % des personnes évacuées sont autochtones.
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Dont une pompière de 19 ans